C’est la triste nouvelle de la soirée d’hier. Jacob Desvarieux n’est plus! Co-fondateur du groupe mythique Kassav, l’artiste international a tiré sa révérence, à Paris (France), à l’âge de 65 ans, des suites de la Covid-19. Toutefois, le décès a fait renaître la polémique sur les vaccins. Les plus sceptiques en ont profité pour solder leurs comptes.
Cependant, la journaliste Christine Kelly a apporté des explications par rapport à ce sujet. «Sur le cas du triste décès de notre ami Jacob Desvarieux et ses 3 vaccins: Quand on est greffé, transplanté, on prend à vie un traitement immunosuppresseur qui empêche le système immunitaire de réagir et détruit le vaccin. On fait 3 ou 4 vaccins en espérant », a-t-elle balancé sur Twitter.
Mieux, selon une note rendue publique, il est indiqué que les traitements immunosuppresseurs sont des traitements qui limitent l’action du système immunitaire. On les utilise lorsque le système immunitaire ne fonctionne pas correctement (maladies auto-immunes) ou que l’on souhaite le mettre au repos (chez les personnes transplantées, pour prévenir le rejet de la greffe). Les plus connus sont les dérivés de la cortisone, mais il y en a de nombreux autres. Dans tous les cas, le traitement immunosuppresseur empêche le système immunitaire de réagir ou de se défendre normalement contre les microbes, et les personnes traitées sont plus à risque d’infection.
Né précisément le 21 novembre 1955 à Paris, Jacob Desvarieux, chanteur, musicien, arrangeur et producteur français avait déjà pris trois (3) doses de vaccin anti-Covid-19 et a été hospitalisé. En effet, il a été plongé dans un coma artificiel pour lui donner les soins nécessaires. Il s’agissait selon son staff Los production/Kassav d’un protocole médical classique.
Avec Kassav qui a fêté ses 40 ans de musique en 2019, Jacob Desvarieux a eu à travailler avec Georges Décimus Jocelyne Béroard,Jean-Philippe Marthély et Jean-Claude Naimro.
Ce vendredi 30 juillet, le décret divin, imparable, s’est accompli. Sans appel.