Tu es parti sur la pointe des pieds jeune homme. Jeudi quand tu es passé à deux reprises dans mon bureau et le soir quand nous échangions au téléphone, j’étais loin de me douter que tu étais en train de ma dire au revoir. Tu m’appelas affectueusement tonton Cheikh. Et je garde de toi le souvenir d’un jeune bien éduqué poli, bien, serviable, correcte, disponible et engagé.
Nous avions ensemble fait tant de choses.
Et voilà que maintenant tu nous quittes..
Nous avons partagé tant de projets et tant d’espoirs.
Il y a tant de choses encore que nous aurions voulu faire ensemble.
Mais cela semble s’arrêter aujourd’hui et ce n’est plus ensemble que nous allons réaliser ce que tu espérais.
Nous voudrions nous souvenir de toi, continuer de travailler à tout ce que tu attendais, à tout ce que tu espérais.
Comme un mur, la mort nous sépare désormais, de toi, notre amitié, notre affection et notre espérance s’en iront te rejoindre là où désormais tu nous attends près de Dieu.
Nous n’oublierons jamais le jeune homme presque parfait que tu as été. Comme un soldat tu as perdu la vie sur ton champ de bataille, au travail, le travail que tu aimais tant.
Je te confie à Dieu et à lui seul mon neveu.
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